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Dessiner l’ovale de son visage à l’ICV

Il y a un an et demi, les docteurs Courtemanche, Daouri et Pascal ouvraient les portes de l’Institut de Chirurgie du Visage à Bordeaux Caudéran. Un lieu d’accueil, de consultations et de petites interventions à l’effet « waouh » autant que celui que l’on ressent en se regardant dans le miroir après une petite rectification esthétique.

C’est le premier jour de leur spécialisation en chirurgie
maxillo-faciale réparatrice et esthétique à l’Université
de Bordeaux Victor Segalen où ils ont tous trois convergé, que les associés et amis se sont rencontrés.
Vient alors l’idée d’ouvrir ce centre de médecine et chirurgie esthétique haut de gamme et aux compétences de pointe. Ils donneront forme à cet institut à partir de l’acquisition d’un simple hangar de 600m2 qui deviendra, après un an de travaux, avec le concours d’un architecte et d’une architecte d’intérieur, ce lieu où l’on se sent bien.

Décomplexer
Tout l’enjeu de la médecine et de la chirurgie plastique est de redonner le sourire aux patients qui l’ont perdu en focalisant trop sur des rides, sur un affaissement de l’ovale du visage, d’une dureté dans la face, d’une hypotrophie
des lèvres, d’un menton disgracieux, d’oreilles décollées, d’un nez arcbouté…
Soigner sa plastique, c’est finalement rien d’autre que soigner l’image de soi. La solution peut se trouver dans des gestes minimes comme les injections de toxine botulique
ou d’acide hyaluronique, pratiquées par les chirurgiens eux-mêmes, ou dans des interventions plus conséquentes sous anesthésie générale (qui seront alors pratiquées dans les cliniques Tivoli ou Jean Villar). C’est le cas de la chirurgie orthognathique (celle de la mâchoire) qui vient réparer non seulement un trouble somatique et fonctionnel (apnée du sommeil, troubles de la mastication…) mais aussi esthétique (prognathie ou retrognathie). Pour les gestes qui ne nécessitent qu’une anesthésie locale et qui peuvent se pratiquer en ambulatoire, l’ICV dispose de deux blocs opératoires. Mais qu’il s’agisse de médecine esthétique ou de chirurgie réparatrice, l’enjeu est le même, comme la façon de faire. Ainsi, le patient est accueilli avec la formulation du complexe qu’il a. Il est écouté, conseillé, orienté vers la meilleure solution à adopter. Tout en respectant et en s’adaptant à son budget, en trouvant des compromis et surtout des solutions
qui redorent une image détériorée, et donc le sourire.

Accompagner
Après une prise de rendez-vous, le patient ou la patiente reçoit toujours un appel afin que soient définis les contours de la quête médicale. Outre la toxine botulique, il n’est réalisé aucun geste lors d’une première consultation. Nous sommes ici dans un centre esthétique haut de gamme, nullement dans un supermarché low-cost du beau où les interventions et les gestes sont pratiqués à la chaine, sans écoute, sans conseil dans le seul but du profit. A l’ICV on prend le temps, on accompagne, on écoute et ensuite on touche, on modèle et on intervient. Avec des mains sûres, avec des produits de qualité (issus uniquement de Suisse ou de France), mais aussi grâce aux dernières techniques connues. Le trio de praticiens n’a de cesse de parcourir le globe pour assister aux colloques les plus reconnus et glaner de nouvelles techniques, afin de se tenir toujours informé.

Innover
On ne connaît pas véritablement sur Bordeaux et sa région un lieu où l’investissement au profit du confort et du réconfort des patients a été aussi important. À Caudéran, on trouve un plateau technique de pointe absolu, avec scanner de la face, navigation chirurgicale 3D… Des assets qui permettent de conférer à l’établissement et à ceux qui y travaillent une assise technologique de pointe au service de l’harmonisation esthétique. En effet, ici, d’un geste, on redessine de grands sourires qui illuminent le visage des femmes. Tout est fait pour que chacun puisse se sentir réconforté, rassuré et pris entre “de bonnes mains”. Des mains capables tout autant de faire de la chirurgie osseuse préimplantaire, de la liposuccion pour faire disparaître un double menton ou une injection d’acide pour redessiner l’ovale d’un
visage de femme fatale !

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